It-s-My-World

It-s-My-World

XI Ondar fiction

Je crois que je suis irrécupérable sur ce coup là...

Je suis hyper en retard, mais bon, au moins j'ai du contenu, non ?

Bref, ce chapitre est un peu moyen, mais je n'avais pas trop le temps (entre collège, activités extra scolaires etc...) donc excusez-moi ^^'

Bonne lecture tout de même :)

 

PDV Ashen :

J'arrivais enfin a me souvenir, enfin a replacer son visage, j'arrivais enfin a le reconnaître. Je ne le connaissais que de vue, mais c'était déjà pas mal. Jamais je n'auras cru le retrouver ici.

Ce garçon, c'était lui.

Je n'avais jamais oublier ce regard emplis de tristesse, quasi suppliant...

-Donc, c'était toi... en déduit Jérémy, me coupant dans mes réflexions.

Il me dévisagea. C'est incroyable comme je ne le voyais plus de la même manière maintenant. J'avais appris a le connaître et j'avais su me comporter normalement avec lui. Je me sentais moins seule et j'avais l'impression que pour la première fois de ma vie, j'avais un ami.

Les autres étaient transparents. Il ne s'attardaient que sur le physique et le comportement au premier regard et ne cherchaient pas a trouver qui on était vraiment. Il se faisait des idée, des préjugés a notre égard. J'étais heureuse et en plein de mes réflexions a la fois.

-Ashen, ça va ?

Je relevais la tête et vis qu'il avait un sourire amusé collé sur le visage.

-Bah, ouai pourquoi ?

-J'sais pas, tu fais une de ses tête !

-J'suis juste un peu, perdue... Mais ça va passer, t'en fait pas !

-Je ne m'inquiétais pas !

Je lui souris et me levais en direction de la cuisine. Je farfouillais dans un peu près tous les placards et sortis un paquet de spaghettis et un pot de sauce.

-Ça te va spaghettis bolognaise ? Criais-je depuis la cuisine.

Après avoir entendu un faible « ouai », je pris tous les ustensiles nécessaires pour préparer mon plat.

Je mis bien 20 minutes a tout fignoler et je me rendis dans le salon, les deux assiettes dans les mains.

Jérémy était toujours assis au même endroit et me regardais comme heureux de voire qu'on allait manger.

-Mais, il t'as fait quoi ce mec ? Demandais-je d'une toute petite voix avant de m’asseoir et de commencer a manger.

-Rien de grave. Il voulais que je devienne son fils ou je sais pas quoi. Il voulait un fils et une fille, donc il s'en ai pris a toi, mais tu ne t'ai pas laisser faire.

Je n'avais aucun souvenir de m'être débattue, je me souviens l'avoir traiter et d'avoir crier, mais rien de plus...

Nous continuâmes notre repas dans une silence religieux, certainement trop affamé pour dire quoi que ça soit. Je pensais tout de même a l'inquiétude qui devait ressentir les parents de Jérémy en ce moment.

-T'as pas peur que tes parents t'engueulent parce que tu ne leur a pas dit où tu allais ?

-Pas du tout. Me répondit mon interlocuteur. Je leur répondrait que de toute façon, je suis en vie. Si je leur dit quoi que ça soit, ils vont me demander ton adresse, chercher chez toi si il n'y a pas de drogue ou d'alcool et pleins d'autres trucs comme ça... C'est vraiment étouffant...

-Vraiment ? Ils sont si envahissant que ça tes parents ?!

-Bah, ouai...

Je pris nos assiettes vides et les emmenaient dans le lave-vaisselle. Il me suivis, pour je ne sais quelle raison.

-Tout est tellement plus grand chez toi !

Je me retournais et lui fis face.

-Je sais, je sais...

Il me fixait, souriant toujours, les yeux remplis d'étoiles comme si c'était la première fois qu'il était heureux.

-C'est incroyable. On ne se connaît que depuis pas très longtemps et pourtant je t'adore. Tu ne peux pas imaginer. Alors que les autres ils me connaissent depuis la sixième, certain avant, et ils ne sont même pas capable de apprécier tel que je suis. Surtout Constance, j'ai du mal avec elle...

-Peut-être parce qu'elle t'aimes ?

-Elle est ridicule... Elle m'aime pour mon physique. C'est le genre de fille a tomber amoureuse a chaque coin de rue, et ça a le don de m’exaspérer.

-C'est compréhensible. Moi, je n'ai jamais eu de copain, parce que je ne connaissais personne. Je n'avais pas envie de me retrouver a faire connaissance alors que nous étions ensemble. Je crois que ce que tu ressent c'est pareil, non ?

Il me regarda et souris de plus bel. Décidément, nous nous ressemblions...

Je sentais un sentiments étrange, ce sentiment que j'avais oublié avec le temps, ce sentiments là...

Je savais qu'en restant avec lui il fallait s'y attendre, je savais que ça allait arriver, mais je ne pensais pas que ce serait si fort et si rapide !

J'étais perdue et je ne pensais plus a rien, je ne le vis même pas me prendre dans ses bras. J'entendis un faible « merci » puis nous restâmes un moment comme ceci, pas assez longtemps a mon goût.

J'étais déboussolée et je me sentais rougir. J'étais ridicule.

Lui pensa que c'était de la gêne, du moins j'espère. Puis nous remontâmes dans la salle de jeux o* nous jouâmes jusqu'à se que nous nous endormions.

 

PDV Constance :

J'étais affreusement jalouse et je l'avouais. J'aurais aimer la fusiller cette Ashen ! Mais a la place, elle était devenue pote avec Jérémy. C'était injuste.

C'est pour cela que j'avais réfléchis un un plan, que je mettrais en exécution le plus tôt possible...



23/09/2013
2 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Ces blogs de Musique pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 16 autres membres