It-s-My-World

Coucou tout le monde !

Bah ouai, toute mon inspiration est revenue et donc, j'ai de l'avance sur les chapitres ^^

Celui-là et le 14 vont être... particulier... Vous allez voir pourquoi :P

Je ne vous fait pas patienter plus !

Bonne Lecture !

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PDV Elvyr

Je rentrais chez moi, à 19H45. Pour une fois que j'allais voir ma fille, j'étais plutôt heureuse !

J'avais remarquer que depuis quelques temps elle traînait souvent avec un garçon de son âge : Jérémy. Elle n'avait jamais eu de vrais amis, j'étais donc vraiment heureuse qu'elle soit enfin moins seule. J'avais même rencontrer ses parents, et ils m'avaient donné leurs numéro pour si il y avait un problème. Qu'ils étaient protecteurs ceux-là...

Enfin bref. Le temps était nuageux et maussade, le genre de temps qui déprime un peu mais auquel on s'habitue avec le temps. Oui, vous voyez ? Ce temps là ne me porte pas souvent chance en temps normale, mais je n'imaginais pas se que j'allais découvrir.

Ashen est normalement encore levée a 19H45. Elle laisse donc la porte ouverte, ou elle vient m'ouvrir. Mais là, au bout d'une dizaine de minutes, personne. Elle n'était pas vraiment couche-tôt, au contraire, alors je ne voyais pas où est-ce qu'elle pouvais être.

Je fouillais toute la maison, et mon stresse s’accroissait au fur et a mesure des pièces vide que je trouvais. Quand j'eus finis mon tour, j'appelais les parents de Jérémy pour savoir si elle n'était pas avec ce dernier.

-Allo ? Demanda la mère du meilleur ami de ma fille.

-Bonjour, c'est Elvyr, la maman d'Ashen. J'aimerais savoir si ma fille était avec vous...

Il y eu un silence lourd, jusqu'à se que Adèle, la mère de Jérémy, articule difficilement.

-Jérémy... n'est pas avec vous ?

Je stresse me monta d'un seul coup.

-Je ne trouve pas Ashen. Je l'ai chercher dans toute la maison. Il va falloir fouiller le quartier. Mon dieu... faîte qu'il ne lui soit rien arriver... Rejoignez-moi vite devant chez moi.

Et voilà comme nous nous sommes retrouver a inspecter n'importe quelle petite ruelle, n'importe quelle maison et tout se que l'on pouvais penser être une cachette pour adolescent ou pour pédophiles. Mais j'ai du me faire a cette idée que je ne voulais pas accepter : Ashen et Jérémy avaient disparu.

PDV Arnaud

1H03, seulement...

La nuit passait si lentement, j’avais l’impression que cela faisait des jours que j'étais dans mon lit. Alors que ça ne faisait que quelques petites heures.

En ce moments, les problèmes prenaient de l'ampleur. Déjà, la disparition étrange de Jérémy et Ashen. Ensuite, Constance qui devient violente et délinquante, et de plus, Mme Barma qui m'annonce son cancer. Ça faisait trop de choses d'un coup, et je ne pouvais plus le supporter. Je devenais insomniaque...

Et puis, cet homme qui me dévisageais le jour de la disparition de Jérémy et Ashen, je suis sûr qu'il a quelque chose a voir là-dedans...

Constance me faisait vraiment peur. Elle taguait les murs, raquettait les autres, se faisait embarquer par la police quasiment tous les soirs pour des délits plus ou moins importants... Enfin bref, elle tournait mal. Ça me faisait vraiment mal au cœur et je ne voyait pas pourquoi elle devenait comme ça. Ce n'était pas son tempérament. Elle avait toujours été adorable, elle aidait les autres et avait un bel avenir ! Et tout commençait a partir en vrille. C'était inimaginable et pourtant : C'était bel et bien la vraie vie.

J'aurais aimé me réveillé a cet instant, et voir Jérémy et Ashen en cours, et Constance toute gentille avec tout le monde. Mais, cela semblait impossible...

Le lendemain, au collège, la salle de classe n'avait plus la bonne humeur d'avant. Certe, la 3°2 n'avait jamais été une classe facile, mais il y avait une bonne ambiance. Là, toute joie de vivre avait l'air d'avoir quittée mes élèves...

PDV Mme Barma

La police avait encerclé la ville et contrôlait tout les voyageurs en sortant, espérant trouver dans leurs véhicules nos chers disparus. Mais rien. Nous cherchions sans relâche, mais la peur de les avoir perdu de vu nous faisait frémir. Nous savions qu'ils avaient disparu aux alentours de 10 heures. Où ça ? Dans quelles circonstances ? Nous cherchions encore a comprendre, mais a notre grand damne, c'était peut-être perdu d'avance.

Elvir et Adèle, les deux mamans, cherchaient elles aussi de leurs cotés. Dans la cartier, dans les effets personnels de leurs enfants, partout, mais aucune piste ne s'ouvrait.

Aucune nouvelle d'eux, nous ne savions même pas s'ils étaient encore en vie. Nous l’espérions tous très fort, mais il ne fallait pas laisser cette hypothèse a l'abandon, malheureusement...

PDV Ashen

Encore enfermés dans cette chambre noir, nous nous blottissions l'un contre l'autre a cause de la peur. Qu'allaient-ils nous faire ? Je ne sais pas, mais j'ai mon idée sur mon kidnapping.

Je viens d'une famille riche, donc pas mal de gens de le cartier doivent le savoir... Ils suffiraient qu'ils se rendent vers le collège et je ne sais pas quelle magie il nous emmènent avec eux. Puis, ils demandent un rançon... Voila, je le sentais bien comme ça.

Mes yeux s'ouvrirent. Quand m'étais-je endormis ? Je l'ignorais, mais je m'étais sûrement réveillée a cause des pas lourds dans le couloir. Qu'allait-il nous arriver ?

Jérémy me regardait, paniqué, jusqu'à se que la porte s'ouvrit. La lumière m'éblouis, et je protégeais mes yeux avec le dos de ma main. Quand enfin je m'habituais a la soudaine luminosité de la pièce, j'aperçus une homme, plutôt baraqué, les cheveux bruns, de tout petits yeux posées sur un visage carré et une expression totalement neutre.

-Vous nous voulez quoi ? Demanda Jérémy.

-T'as pas une petite idée ? Répondit sèchement l'homme.

-Je ne vous aurais rien demander si je savais déjà se que vous nous vouliez...

Il s'approcha de mon ami et le gifla. Tellement fort que sa tête vint taper le mur sur lequel nous étions adossés. Puis, il posa deux sandwichs par terre, et referma la porte, se qui nous replongea dans une forte pénombre.

-Ça va Jérémy ? Demandais-je après avoir été sûre que l'homme était loin.

-J'ai mal... répondit-il sa main massant sa joue.

Je pris son menton entre mon pouce et mon index, et tournais son visage vers moi. J'enlevais sa main de sa joue, et m'apprêtais mettre la mienne a cause de sa froideur. Mais avant que je ne puisse faire quoi que ça soit, Jérémy approcha dangereusement son visage du mien.