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III ONDAR fiction

PDV Constance :

Ashen, la nouvelle était vraiment spécial. Je sentais qu'elle n'était pas comme les autres, mais je n'allait pas l'aimer. Elle c'était retrouvée a coter de Jérémy, celui que j'essaie de séduire depuis la sixième.

Dans les couloirs après le cour de français, je la vis essayer de sortir son carnet de son sac.

- « Déjà perdue ? » pensais-je.

Puis, je vis Guillaume Sentou courir en sa direction. Il semblait vouloir lui foncer dessus mais elle ne le voyait pas.

-Ashen ! Attention ! Lui criais-je.

Elle se retourna et poussa un hurlement a en perser un tympan. Mais Guillaume la renversa et lui tomba dessus.

-Bienvenue ! Lui cria Guillaume.

La nouvelle était pâle comme un linge. Puis, elle poussa guillaume pour se remettre debout. Je m'approchais.

-Guillaume ! Fis-je.

Il regardais niaisement Ashen, qui semblait perdue.

-Excuse-le...

-Il est comme ça avec tout le monde ? Demanda-t-elle.

-Bien sûr ! Ça ne serait pas drôle si non ! Répondit le seul garçon. Mais normalement, je suis avec Cyril. D'ailleurs, vous ne l'auriez pas vu ?

Ashen soupira et partit en direction de la salle de maths tout en me remerciant de l'avoir prévenue de l'attaque de Guillaume.

Je me retournais vers ce dernier.

-T'es vraiment con toi ! Tu peux pas faire gaffe ne serais-ce que 2 minutes ?

-Mais ça ne serait pas amusant si je faisais attention a ce qui m’entoure ! Et puis, je voulais juste lui souhaiter la bienvenue !

J’aperçus Jérémy juste a coter de moi qui semblait emballer par la discussion. Quand il vit que je l'avais remarquer, il me demanda ce qu'il c'était passé.

-La pile électrique a encore fait des siennes... dis-je en me souvenant que j'avais maths.

Je pris congé de mes interlocuteurs et longeais le corridor a la recherche de la salle 212. Je jetais un regard rapide a ma montre et vis que j'avais 5 minutes de retard. J'étais morte...

Je toquais doucement a la porte. J'aurais préféré disparaître sous terre...

-Entrez ! Cria M. Tsedri.

Je poussais la porte et entrais dans la classe, tête baissé de peur de la sanction que j'encourais.

-Eh bien, Mlle Pittard, on est en retard ! Décidément, vous ne commencez pas bien votre année...

Je baissais encore plus la tête, de honte.

-Je vous épargne pour cette fois. Mais tâchez d'être a l'heure tout au long de l'année, parce que vous ne serez plus gracier.

Je relevais la tête et remercia le professeur. Je m'assis a ma place, a coter d'Ashen.

-Encore merci pour tout a l'heure. Me dit elle après un long silence.

-De rien. Guillaume est une pile électrique depuis la maternelle... Apparemment. C'est un peu pénible. Heureusement que Cyril n'est pas là aujourd'hui ! Il sont horrible quand ils sont tout les deux...

Elle sourit. Un charmant sourire très rassurant.

-Ashen ? Demanda M. Tsdri.

-Présente. Répondit elle d'une voix posé.

-Jérémy ?

Aucune réponse. Je me souvint alors que je l'avais laisser avec la pile électrique dans le couloir quelques minutes auparavant.

-Je vois que Monsieur Ferrari a encore sécher les cours... Bien sûr, il ne les a pas sécher, parce qu'il est impossible de sécher un cours. Et puis, même si on le pouvait, pourquoi seraient ils mouillés ? …

Je n'écoutais plus. Jérémy n'était pas du genre a sécher. Il n'était pas un fouteur de merde. Il préférait rester au fond de la classer a gribouiller son carnet ou a écrire des choses que personne n'a jamais lu. Personne ne sait non plus si il a vraiment des amis. En tout cas, je crois que je n'en fais pas partie. Je suis folle de lui depuis la première fois que je l'ai vus. J'étais nouvelle, comme Ashen, sauf que nous étions en Sixième. Il était au fond et je me suis mise a coter de lui. J'ai essayer de lui parler mais la seule chose qu'il a répondu était un joli « Tu pales tout le temps comme ça ? Parce que là, c'est chiant... ». On est des connaissances, rien de plus. Et ça me désole...

 

PDV Guillaume :

-Je ne voulais pas l'effrayer, juste lui montrer qui je suis tout de suite pour qu'elle ne soit pas surprise plus tard...

Jérémy m'étouffais et je me pris un nouveau coup de poing dans la mâchoire. Il m'avait pris par les aisselles, m'avait soulever et m'avait plaquer contre le mur jusqu’à ce que je justifie mon geste. Jamais il n'avait frapper personne depuis que je le connaissait, c'est a dire depuis toujours.

Personne ne savait si il était vraiment humain, avec un cœur, des sentiments etc...

Personne ne l'avait vu avec des amis, de la famille ni rien. Il était solitaire. Il n'avait jamais eu de petite amie. Par contre, on le voyait souvent en compagnie du prof de maths, M. Tsedri. Il était visiblement son seul confident et son seul ami.

Je ne comprenais donc pas son geste. Peut-être la connaissait il ?

Je n'étais pas si loin...

_________________________________

Voila le chapitre 3 tant attendu ! Désolée pour cette longue absence mais, tout le monde part en vacances un jour ^^

Bref, chapitre 4 d'ici quelques jours (enfin, si j'ai le temps) et sur ce,

La Bonne Journée !



04/08/2013
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