It-s-My-World

It-s-My-World

IX - Ondar fiction

Alors, déjà, Désolée de poster aussi tard. il est 22H31 et je sais que je suis un eu a la bourre... Mais je me suis rattrapée en faisant un chapitre plutôt long (4 page LibreOffice) !

De deux, je préfère faire mes point (ce que je fais en ce moment) avant le chapitre maintenant, c'est plus simple ^^

Donc, voila un chapitre plutôt cool, même si on apprends sur Ashen et que je pense que c'est plus un "déclencheur".

Bref, je ne vous fait pas attendre plus, voila voila !

___________________________________________________

 

PDV Arnaud :

Jamais je ne l'aurais cru capable de se mettre dans un tel état. Bien évidemment, elle s'excusa fortement et mis du temps a réaliser se qu'elle venait de faire.

Notre petite Ashen avait mis une gifle monumental a Cyril et aura pu lui décrocher la mâchoire. Elle s’excusa auprès de lui et de sa mère, qui ne semblait pas en colère du tout.

-Je suis désolée... répéta-t-elle encore un fois.

Jérémy lui glissa quelque chose à l'oreille que je ne pu entendre. Je vis a l'expression de visage de la jeune fille qu'elle ne comprenait pas vraiment.

Jérémy et elle semblait avoir lier un début d'amitié en seulement quelques heures. La seule chose qui me titillais un peu était que personne ne savais rien sur Ashen. Elle semblait venir de nul part, et ne pas avoir de vie avant que nous la connaissions. Pourtant, j'avais déjà rencontrer ses parents. Des gens vraiment très sympathique, un peu parents poule, mais ils laissaient tout de même beaucoup de liberté a leur fille.

Nous laissâmes les garçon et leurs mères seuls avec Catherine, la directrice.

-Vous auriez pas un doliprane, je ne me sens pas bien... me demanda tout doucement Ashen comme par peur de ma réaction.

-Tu sais bien que je n'ai pas le droit !

-Je ne suis pas allergique, j'en prends dé que j'ai mal. S'il vous plaît... assista-t-elle en se tenant la tête.

Je cherchais dans ma poche et trouvais quelques cachets effervescents et lui tendais. Elle se dirigea vers les toilettes se trouvant dans la cour et alla boire son cachet, me laissant seul avec Jérémy.

-Tu l'aime bien Ashen ? Demandais-je après un long silence.

-Oui. Elle est pas comme les autres, elle a pas chercher a tout comprendre sur moi et a se fier a l'avis des autres a mon sujet. Elle a voulut se faire une propre idée de ma personnalité, c'est pour ça que je l'apprécie.

Il plaça son dos contre le mur et se laissa glisser.

-Il te resterais pas un doliprane, parce que là je vais pas tenir la journée....

Je farfouillais de nouveau ma poche et en sortis un deuxième comprimé. Il le pris sans rien dire et partit en direction des toilettes. Moi, je devais rejoindre ma salle, pour le cours suivant que je devais donner.

J'avoue que j'aurais aimer rester avec les jeunes, mais le devoir m'appelais. Je ne voulais en aucun cs décevoir mes élèves, je me devais de les mener vers la réussite.

16H30 sonna et je n'avais pas revu Jérémy et Ashen du reste de la journée. Je me dirigeais donc vers le portail de sortie et ne les vis pas. J'espérais qu'ils étaient déjà sortis, je ne voulais pas que Guillaume et Cyril refassent des leurs. Je savais que Ahmed n'y était pour pas grand choses, et qu'il n'avait pas eu le choix.

Je jetais un coup d’œil dans la cour, dans les moindre recoins, mais ne vis rien.

Mon angoisse s’intensifia et je regardais dans la rue parallèle au collège, mais ne vis rien non plus.

Par chance, j'avais le numéro de Jérémy (nous étions quasi meilleurs amis, alors voilà...). J'attendis deux sonneries et enfin, j'entendis une voix familière.

-Allô ?

-Jérémy ?! Vous êtes déjà partis ?

-Bah, disons que oui, mais que j'ai perdu Ashen de vu. Je saurais jamais où elle habite décidément !

Il semblais se parler a lui-même.

-Tu la cherche du coup ?

-Non, pas du tout...

Je savais qu'il me mentais, sa voix le trahissait. Il était terriblement gêner de l'avouer, mais il s'était attaché a elle et avait du passer le reste de la journée en sa compagnie.

-Elle doit être rentré chez elle, rentre chez toi aussi, tes parents vont s’inquiéter...

Je l'entendis vaguement dire « Ouai, ces vieux cons... » avant qu'il ne raccroche.

Comment Ashen avait elle fait ? Comment avait-elle réussi a entrer dans la vie de Jérémy en une semaine seulement ?

Je n'étais pas jaloux, au contraire, j'étais stupéfait.

Je rentrais chez moi, comme tous les soirs. Rien ne me paru plus normal que de retrouver mon appartement dans un pagaille montre.

Je posais mes affaires et me laissais tomber sur une chaise, afin de me reposer un peu. Je savais que la soirée allait être longue, j'avais une pile de copie a corriger, et ça n'était pas mon activité favorite....

 

PDV Ashen :

J'avais réussi a partir avant que Jérémy ne me voie. Je ne voudrais pas qu'il sache où j'habite !

Je l'entendais tout de même me chercher au loin, crier mon nom.

« Je lui expliquerais demain » pensais-je. Je ne voulais pas m'embrouiller avec lui aujourd'hui.

De toute façon, je lui avait dit au courant de la journée que je pouvais avoir des réactions vraiment étranges et totalement imprévisibles. Il ne pourra pas m'en vouloir parce que je ne l'avais pas prévenu !

Je me trouvais devant chez moi. N'importe quelle fille ne cacherais pas une si belle demeure. J'étais une gosse de riche, donc j'avais une maison de riche. Mes parents étaient chefs d'entreprise et donc rentraient aux environs de 23H00.

Je tâtais mes poches a la recherches de mes clés, mais ne les trouvais pas.

Après 20 minutes a fouiller mon cartable de font en comble, je du me résoudre a la triste vérité : J'avais perdu mes clés. Mais, d'un coup, je me souvins que Jérémy me les avait prise pour les regarder, mais je n'avais pas le souvenirs qu'il me mes avait rendus.

Je tournais les talons et rebroussais chemin. Je l’aperçu devant l'imposant portail, tenant les clés d'une seule main. Je m’approchais de lui.

-Alors, c'est ça que tu voulais me cacher ? Me sortis-t-il des étoiles dans les yeux en voyant ma demeure.

J'ouvris le portail et le laissait entrer.

-Bah, j'avais peur que tu me prenne pour une pourrie gâté... On choisi pas où on naît, et moi j'ai une famille qui a des moyens, mais les autres ne le voient pas de la même façon, c'est vexant...

-Qui te dis que je suis les autres ? Demanda-t-il comme vexé.

-je ne sais pas... Je suis trouillarde, mais ne le dis a personne...lui confiais-je.

Je n'aimais pas confier mes faiblesses aux autres, mais j'avais confiance en lui.

-Tu veux venir chez moi ? Mes parents ne sont jamais là.

-Moi c'est tout le contraire, ils sont tout le temps sur mon dos...

Nous discutions tout en marchant vers la porte d'entrée. Décidément, cette allée était vraiment longue !

J’ouvris la porte et le laissais entrer. Il regarda tout autour de lui, impressionné.

Je l’emmenais dans ma chambre afin de poser nos affaires. Je m'assis sur l'une de mes chaise de bureau. Lui se plaça devant moi.

-T'en pense quoi des autres ? Me demanda-t-il soudainement.

-Ça dépend... J'ai tellement été dégoûtée dans ma vie que là je sais plus quoi en penser.

Il réfléchis un moment. Me regarda droit dans les yeux et baissa le regard.

-Tu sais, je pense que tu as tout de même de la chance de ne pas avoir tes parents tout le temps a te surveiller...

j'écarquillais les yeux.

-Comment ut peux dire ça ? J'aimerais sans fois mieux avoir mes parents avec moi plutôt qu'ils soient toujours absent ! Il y a même des fois où je ne me rappelle plus bien d'à quoi ils ressemblent...Tu ne sais pas quelle chance tu as ! M'énervais-je.

-Je suis désolé, c'est juste que mes parents sont toujours a vouloir tout connaître de ma vie, que je n'ai quasiment pas de vie privé avec eux et du coup, c'est vrai que de ne pas avoir de parents ne m'aurais pas gêner. Mais apparemment, ce n'est pas la chose la plus génial qui existe...

Je me calmais. Je vis bien qu'il en souffrait.

-tu veux dormir chez moi pour être un peu tranquille ? Lui demandais-je.

Il releva le regard en ma direction et ses joues s'empourprèrent.

-Je n'ai jamais dormis chez des amis...

-Bah, c'est l'occasion !

Mon portable vibra après avoir achever cette phrase et lu le texto que je venais de recevoir. Je vis a la police d'écriture que ce n'était autre que ma mère.

« Coucou ma puce !

Je voulais juste te prévenir que je ne rentrerais pas ce soir, j'ai trop de travail. Ton père non plus... Désolée...

A bientôt Ashen ! »

Je laissais tomber mon portable a terre et baissais les yeux. Jérémy le récupéra et lu le message.

-Désolé Ashen...dit il tout en se relevant.

Je ne voulais pas qu'il parte, je voulais qu'il reste avec moi.

-Reste Jérémy, s'il te plaît...

Et là commença l’impensable.

 

PDV Elvyr

 

Je savais d'avance que ma fille m'en voulait. Je ne la voyais que rarement, et ce soir là, même si je rentrais tard, elle voulais le passer avec moi.

Nous avons souvent été absent, mais je fais mon maximum pour qu'elle soit heureuse et qu'elle n'en souffre pas trop. J'avoue que je la gâte, mais elle refuse de devenir pourrie.

Je devrais être fière de ma fille et je le suis. Elle est incroyablement mature, un peu timide mais elle fait de gros efforts et amicale quand on la connaît.

J'adorais ma fille, c'était sûr...

 

PDV Arnaud :

Je me réveillais, assis sur ma chaise, la pile de copie sous ma joue. Je devais certainement avoir des marques montres de stylo sur le visage, mais je m'en fichais, ça ne serais pas la première fois...

Je regardais a travers la fenêtre quelle heure pouvait-il bien être. Au moins 3H00 du matin.

Encore une nuit où je ne rêvais pas. Cela faisait quelques temps déjà que lorsque je ne faisais pas ne cauchemars, je ne rêvais pas. Je ne savais d'où cela venait ni quoi ou qui était la source, mais je voulais que cela cesse.

J'avais finis de corriger les contrôles, déçu. La plupart des élèves avaient eu en dessous de 10, dont Jérémy et Guillaume.

En pensant a eux, j'eus un frisson dans le dos. J’espérais que rien de grave ne se soit passé la veille.

Je me levais difficilement et attrapa mon portable qui trônait seul au milieu de la table. J'avais deux appels en absence et un message.

« -Bonjour Arnaud, c'est Catherine. Je suis harcelée par les parents de Jérémy qui ne serait pas rentré chez lui. J'espère que tu vas répondre maintenant, parce que je n'ai aucune idée d'où il peut être. Au revoir ! »

Comment ? Jérémy n'était pas rentré chez lui ? Mais, où était il dans ce cas ? Il n'était pas du genre a fuguer, mais je connaissait son aversion pour ses parents qui ne lui laissaient ne serais-ce qu'un semblant de vie privée. Ils voulaient toujours tout savoir sur leurs fils, et quand je dis tout, c'est TOUT.

Mais jamais je n'aurais pu deviner ce qu'il c'était vraiment passé ce soir-là...

 



06/09/2013
1 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Ces blogs de Musique pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 16 autres membres